Plus de souplesse concernant le parcours d’accueil des primo-arrivants à Bruxelles
Le parcours d’accueil sera plus facile à suspendre en cas d’activité professionnelle, d’étude ou de maladie. Quelques nouvelles exceptions sont prévues concernant les titulaires d’une carte de séjour provisoire.

Depuis le 10 avril 2022, la Région de Bruxelles-Capitale fait preuve de plus de souplesse concernant la suspension du parcours d’accueil des primo-arrivants à Bruxelles.
Si la suspension est due à un emploi ou à une formation qui implique un conflit horaire avec le parcours d’accueil, les primo-arrivants sont tenus de fournir une preuve de ces occupations et de l’incompatibilité horaires tous les trois mois.
Si la suspension est due à une maladie ou un voyage temporaire à l’étranger pour raison médicales, il ne faut fournir d’attestation médicale que si la durée d’absence est d’un mois minimum. Il n’y avait pas de durée minimale dans l’ancienne législation.
Une exception pour les titulaires d’une carte de séjour provisoire était déjà prévue pour les diplomates et travailleurs contraints de se déplacer du fait de leur emploi. Cette exception est maintenant étendue aux étudiants, mais aussi à tout étranger venant en Belgique pour une formation, un stage, un échange ou un travail bénévole.